Le pont thermique est une zone dans l’enveloppe isolante du bâtiment présentant une variation de résistance thermique : il y a rupture en raison d’un changement de géométrie ou d’un changement de matériau de l’enveloppe. Le pont thermique peut vous faire perdre jusqu’à 25% de la chaleur de votre bâtiment. Nous verrons à travers cet article comment éviter la déperdition d’énergie due aux ponts thermiques, que ce soit pour vos murs ou… pour vos fenêtres, bien sûr !
Mur, toit, isolation et ponts thermiques
Pour éviter les déperditions énergétiques, il vous faut prendre au sérieux le traitement de vos ponts thermiques. En effet, si vous les négligez, même une bonne isolation ne sera pas efficace.
Pour vos murs, pensez à une isolation extérieure. L’isolation intérieure nécessite en effet une interruption de l’isolant au niveau du plancher, tandis que l’isolation extérieure vous permet de faire le tour du bâtiment sans coupure. Pensez également à l’interruption entre le mur et le toit : les isolants doivent se toucher. Veillez enfin à ce qu’aucun matériau conducteur ne relie l’extérieur à l’intérieur.
La rupture de pont thermique pour vos fenêtres en aluminium
Dans le cas des fenêtres, l’aluminium est un matériau conducteur. Sans rupture de pont thermique, celui-ci capte le froid en hiver et le fait pénétrer dans votre intérieur, vous gâtant par la même occasion de belles factures de chauffage. Il peut aussi vous poser des problèmes de condensation.
La rupture de pont thermique est dont indispensable pour des fenêtres en aluminium : aujourd’hui, 95% des fenêtres en aluminium en possède une. Grâce à du polyamide, du PVC ou de la résine PU, la conductivité de l’aluminium est diminuée, et vous profitez d’une pièce à température ambiante, agréable toute l’année.
Consultez nos fenêtres en aluminium (http://www.serplaste.fr/nos-fenetres/les-fenetres-aluminium), équipées d’une rupture de pont thermique !